Pour Me Marie-Gaëlle Coulombe, la profession de notaire s’est imposée comme étant la voie à suivre assez tôt dans son cheminement scolaire. Dès le CEGEP, elle était déterminée à faire son entrée dans la profession notariale. Admise à la Faculté de Droit civil de l’Université d’Ottawa en 2010, elle en gradue trois ans plus tard avec les honneurs. Admise en 2013 à la Maitrise en droit avec spécialisation en droit notarial, toujours à l’Université d’Ottawa elle y poursuit son cheminement. Sous la supervision de Me Sophie Thériault, Me Coulombe rédige un mémoire de maitrise, choisissant ainsi la voie de la spécialisation. Son mémoire : « Quand la jouissance du droit de propriété s’oppose au bien-être collectif : les responsabilités du notaire au regard de l’impératif de protection des bandes riveraines » présenta un regard sur du droit relativement nouveau et sur un domaine très peu étudié. Pour la qualité de son travail, ce mémoire fut sélectionné pour représenter l’Université d’Ottawa auprès du concours de rédaction de la Chaire de recherche en notariat.
2014 marqua le début de carrière de Marie-Gaëlle en tant que stagiaire auprès de Me Charles-Henri Rioux, et ce, dès son retour d’une grande aventure qui l’amena en Afrique de l’Ouest, pour y vivre au rythme des Togolais et de l’aide humanitaire qu’elle y a accompli. Dans ce stage, elle y découvrit une véritable passion pour le droit des personnes, c’est-à-dire pour la rédaction des testaments et des mandats de protections, mais également pour le règlement des successions et les ouvertures de régime de protection. C’est le 10 mars 2015 qu’elle atteint finalement son rêve, et qu’elle est admise au Tableau de l’Ordre des Notaires du Québec.
Alors que ce soit dans le cadre de problématiques de droits des propriétaires riverains, ou pour la rédaction de vos documents concernant votre protection et celle de votre patrimoine, ou encore pour célébrer votre mariage, pour l’achat ou le financement de votre propriété Me Marie-Gaëlle Coulombe fait partie de l’équipe qu’il vous faut.